Nous allons vous proposé dans le cadre de notre TPE, un sujet sensible qui bouleversa les années 2009-2010: la grippe H1N1. Cette grippe est d'origine animal, partie du Mexique. C'est une maladie respiratoire aiguë, un virus différent des autres sous virus de la grippe saisonnière car il est transmissible d'Homme à Homme malgré sa provenance bestial, d'où l'importance d'un vaccin pour éviter tout risque de contamination et de décès. Elle fut dans tous les médias et présente dans les discussions des français. Nous allons donc y revenir pour éclaircir un point qui a été très peu évoqué dans l'ensemble, nous nous demanderons alors si la vaccination contre la grippe H1N1 est-t-elle un acte social ou bien un acte individuel. Nous aborderons ce sujet dans un premier temps en expliquant les termes scientfiques puis nous verrons dans un deuxième temps le côté social et économique de la grippe mexicaine.
La grippe A expliquée aux enfants
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TPE - Vaccination Grippe H1N1
Introduction
Voici notre exposé qui a été réalisé par Stephane Brudey, Louis Ortuno et VIctor Delcourt dans le cadre d'un TPE. Il traite le sujet de la grippe A, en particulier de la vaccination contre cette maladie. C'est un travail qui associe les matières suivantes: les Sciences et Vie de la Terre ainsi que les Sciences Économiques et Sociales.
dimanche 27 février 2011
Qu'est-ce qu'un virus ?
Un virus est un agent pathogène caractérisé par une très faible taille, d'environ 0.02µm à 0.3µm. Cet agent se multiplie grâce à une cellule hôte. Un virus peut exister sous 2 formes distinctes, il peut-être sous la forme intracellulaire, c'est-à-dire qu'il est dans une cellule hôte. Le virus est alors dépendant de cette cellule pour se reproduire, car les virus sont incapables de le faire eux-mêmes en partie à cause de leur taille trop faible pour contenir tout le matériel génétique nécessaire à la synthèse des protéines requises pour leur multiplication. Cependant le virus n'a pas besoin des chromosomes pour se reproduire.
La seconde forme du virus est la forme extra-cellulaire: il s'agit des particules virales, constitués au minimum d'un acide nucléique et de protéines.
Schéma du cycle viral
Un peu d'histoire sur le virus.
Les premières découvertes concernant les virus remontant à la fin du XIXe siècle, quand des scientifiques on réussissent à isoler des agents infectieux, invisibles au microscope optique et qui arrivaient à traverser les filtres habituellement utilisés pour recueillir les bactéries.
En 1925, une nouvelle définition vit le jour suite à de nouvelles découvertes sur le foncitonnellement viral: elle était désormais "un agent responsable d'une maladie infectieuse, parasite, de nature particulière et de taille comprise entre 0.01 et 0.3 microns". Le botaniste russe Dimitri Ivanovski, travailla de 1887 à 1892, sur la mosaïque du tabac, une maladie végétale. Il réussira à démontrer que la sève des plantes malades se composées d'une partie d'agent infectieux. Le chercheur croyait qu'il s'agissait d'une très petite bactérie ou d'une toxine. Ces études seront par la suite reprit et approfondit, en 1898, par Martinus Beijerinol, un chimiste hollandais. Cet hollandais abandonna l'hypothèse du russe, donc il pensa guère à la bactérie et à la toxine. Durant cette même période le premier virus identifié était le virus de la fièvre aphteuse, par Frédirick Loffler ainsi que Paul Frosh. Puis le virus de la fièvre jaune sera quant à lui le premier virus pathogène de l'homme discerné, entre 1900 et 1902.
L'invention dans les années 1930 du microscope électronique permettra l'observation des virus et en 1957, une nouvelle définition du virus sera proposée par le français, André Lwoff.
Dès les années 1960, avec le développement des pays riches et leurs avancées technologique mais également de la science (amélioration de cultures cellulaires, de la microscopie électronique, biologie moléculaire que les scientifiques ont pu progressé dans leurs recherches et analyses pour évoluer leurs connaissances sur la division cellulaire des virus, dans la création de diagnostics de plus en plus stable et complexes ainsi de celle des vaccins.
L'invention dans les années 1930 du microscope électronique permettra l'observation des virus et en 1957, une nouvelle définition du virus sera proposée par le français, André Lwoff.
Dès les années 1960, avec le développement des pays riches et leurs avancées technologique mais également de la science (amélioration de cultures cellulaires, de la microscopie électronique, biologie moléculaire que les scientifiques ont pu progressé dans leurs recherches et analyses pour évoluer leurs connaissances sur la division cellulaire des virus, dans la création de diagnostics de plus en plus stable et complexes ainsi de celle des vaccins.
Qu'est-ce que la Grippe A?
Le virus de la Grippe A, qui a fait la une des médias durant plusieurs mois, est apparu pour la première fois entre Mars et Avril 2009 au Mexique, pour la première fois. Il a été classé comme pandémie grippale puisqu'il s'est étendu de manière très importante à l'échelle planétaire.
Ce virus est un croisement entre un virus porcin: le virus de la grippe aviaire et un virus humain qui peut se transmettre d'homme à homme .
Le terme A désigne le type de virus grippal parmi les 3 existants (soit A,B ou C) et le terme H1N1 décrit le type de molécules présenter à la surface du virus, il y a 16 types de H (Hémagglutinine ) et 9 types de N (Neuramidase )qui sont deux glycoprotéines codées par le génome viral. Il existe 16 types de H différents contre 9 types de N. Ces virus grippaux ont chacun son H et son N ( H5N1, H1N1, H3N3, ...). On peut alors nommer plusieurs grippes comme la grippe de Hong-Kong de 1968-1969 ( H3N2), la grippe aviaire de 2004-2005 (H5N1), celle qui nous concerne la Grippe A de 2009-2010 (H1N1) de catégorie pandémique d'origine porcine .
Lla propagation de ce virus aérienne se fait par voie (par le biais d'éternuement ou de postillon ), mais aussi par le contact humain (lorsque l'on serre la main d'une personne ou quand on embrasse quelqu'un ) ou par le contact avec des objets contaminés (poignée de porte, chaise, ...).
Ce virus est un croisement entre un virus porcin: le virus de la grippe aviaire et un virus humain qui peut se transmettre d'homme à homme .
Le terme A désigne le type de virus grippal parmi les 3 existants (soit A,B ou C) et le terme H1N1 décrit le type de molécules présenter à la surface du virus, il y a 16 types de H (Hémagglutinine ) et 9 types de N (Neuramidase )qui sont deux glycoprotéines codées par le génome viral. Il existe 16 types de H différents contre 9 types de N. Ces virus grippaux ont chacun son H et son N ( H5N1, H1N1, H3N3, ...). On peut alors nommer plusieurs grippes comme la grippe de Hong-Kong de 1968-1969 ( H3N2), la grippe aviaire de 2004-2005 (H5N1), celle qui nous concerne la Grippe A de 2009-2010 (H1N1) de catégorie pandémique d'origine porcine .
Lla propagation de ce virus aérienne se fait par voie (par le biais d'éternuement ou de postillon ), mais aussi par le contact humain (lorsque l'on serre la main d'une personne ou quand on embrasse quelqu'un ) ou par le contact avec des objets contaminés (poignée de porte, chaise, ...).
Schéma de la particule virale
Les symptômes et les traitements de la Grippe A.
Depuis la découverte du virus en 2009 plusieurs symptômes ont été identifiés chez les individus atteints par la grippe A. Ces différents symptômes sont :
Par conséquent pour remédier à cette maladie des traitements antiviraux ont été mis en vente. Ils sont commercialisés depuis le 12 novembre 2009 . Les plus connus sont le Tamiflu (dérivé de l'oseltamivir) et le Relenza (dériver du zanamivir).
Cependant les moyens de prévention conseillés restent tout de même d'éviter tout contact avec une personne atteinte, se laver les mains avec du savon ou une solution hydroalcooliqueet, enfin, se couvrir la bouche et le nez avec un mouchoir lors d'éternuements et de toux pour éviter tout risque de contamination de son entourage.
Ou encore:
- une grande fatigue
- des douleurs musculaires et articulaires
- écoulement nasale
Par conséquent pour remédier à cette maladie des traitements antiviraux ont été mis en vente. Ils sont commercialisés depuis le 12 novembre 2009 . Les plus connus sont le Tamiflu (dérivé de l'oseltamivir) et le Relenza (dériver du zanamivir).
Cependant les moyens de prévention conseillés restent tout de même d'éviter tout contact avec une personne atteinte, se laver les mains avec du savon ou une solution hydroalcooliqueet, enfin, se couvrir la bouche et le nez avec un mouchoir lors d'éternuements et de toux pour éviter tout risque de contamination de son entourage.
Quels sont les principes du vaccin ?
La création rapide du vaccin contre la grippe A(H1N1) peut s'expliquer par les principes du vaccin qui s'avèrent assez simple.
Le vaccin stimule les défenses immunitaires de l'organisme en présentant le virus sous une forme immunogène (le microbe doit être correctement reconnu et déclencher une excellente réaction immunitaire). Cependant ce virus est dépourvu des différents symptômes et complications se développant parfois lors du contact avec celui-ci. Le vaccin permet donc de lutter contre certaines maladies, par le biais du système immunitaire qui consiste en une lutte du corps face à l'intrusion d'agents infectieux (virus, bactérie, ...) en produisant des anticorps qui attaquent ces microbes. Pour stimuler les défenses immunitaires contre une maladie sans déclencher celle-ci, on introduit dans l'organisme, une partie de l'agent infectieux ou la totalité de l'agent infectieux mais sous forme atténuée. Souvent le premier contact avec l'antigène présent dans le vaccin entraîne une réaction immunitaire lente et quantitativement peu importante. Cette réponse dite primaire doit alors être renforcée par un (ou des) rappel(s) qui entraîne une réaction immunitaire beaucoup plus rapide et plus intense, à l'origine d'une protection efficace et durable.
Donc un individu vacciné exposé à ce virus ou à sa toxine aura une activation rapide des défenses immunitaires qui pourront le rendre inoffensif avant sa propagation.
L'organisme a conservé la mémoire des antigènes qui lui ont été présentés auparavant, mémoires matérialisées par des populations de lymphocytes B mémoire et de lymphocytes T4 mémoire spécifiques de ces antigènes et à longue durée de vie. Ainsi, des anticorps spécifiques ou des LT cytotoxiques peuvent très vite entrer en action.
Il existe plusieurs types de vaccins (préparés de différentes manières ). Leurs but reste le même diminuer ou supprimer le pouvoir pathogène de l'agent infectieux contenu dans le vaccin tout en gardant son pouvoir pathogène.
Les vaccins vivants atténués par divers procédés afin que son agressivité soit faible voir presque nulle (Vaccins contre la rougeole, la rubéole, les oreillons, …).
Les vaccins inactivés ( Le virus est inactivé sous l'effet d'un produit chimique ) évite ainsi que les virus se multiplie et provoque la maladie. ( Les vaccins contre la grippe A, l'hépatite, le pneumocoque,...).
Le vaccin stimule les défenses immunitaires de l'organisme en présentant le virus sous une forme immunogène (le microbe doit être correctement reconnu et déclencher une excellente réaction immunitaire). Cependant ce virus est dépourvu des différents symptômes et complications se développant parfois lors du contact avec celui-ci. Le vaccin permet donc de lutter contre certaines maladies, par le biais du système immunitaire qui consiste en une lutte du corps face à l'intrusion d'agents infectieux (virus, bactérie, ...) en produisant des anticorps qui attaquent ces microbes. Pour stimuler les défenses immunitaires contre une maladie sans déclencher celle-ci, on introduit dans l'organisme, une partie de l'agent infectieux ou la totalité de l'agent infectieux mais sous forme atténuée. Souvent le premier contact avec l'antigène présent dans le vaccin entraîne une réaction immunitaire lente et quantitativement peu importante. Cette réponse dite primaire doit alors être renforcée par un (ou des) rappel(s) qui entraîne une réaction immunitaire beaucoup plus rapide et plus intense, à l'origine d'une protection efficace et durable.
Donc un individu vacciné exposé à ce virus ou à sa toxine aura une activation rapide des défenses immunitaires qui pourront le rendre inoffensif avant sa propagation.
L'organisme a conservé la mémoire des antigènes qui lui ont été présentés auparavant, mémoires matérialisées par des populations de lymphocytes B mémoire et de lymphocytes T4 mémoire spécifiques de ces antigènes et à longue durée de vie. Ainsi, des anticorps spécifiques ou des LT cytotoxiques peuvent très vite entrer en action.
Il existe plusieurs types de vaccins (préparés de différentes manières ). Leurs but reste le même diminuer ou supprimer le pouvoir pathogène de l'agent infectieux contenu dans le vaccin tout en gardant son pouvoir pathogène.
Les vaccins vivants atténués par divers procédés afin que son agressivité soit faible voir presque nulle (Vaccins contre la rougeole, la rubéole, les oreillons, …).
Les vaccins inactivés ( Le virus est inactivé sous l'effet d'un produit chimique ) évite ainsi que les virus se multiplie et provoque la maladie. ( Les vaccins contre la grippe A, l'hépatite, le pneumocoque,...).
Qu-est ce qu'un acte social ?
Tout d'abord, un acte collectif se résume par le fait d'aider la société grâce à une action quelconque (remplir son rôle de «citoyen» ). Dans notre cas, un individu pourra donc se vacciner non pas seulement pour son propre bien être mais par exemple pour préserver son ménage ou encore son lieu de travail d'une éventuelle contamination qui pourrait entrainer par la suite une épidémie ou une pandémie.
Le mot épidémie qui vient du grec «Demos» ( ignifiant «peuple» ) est un phénomène qui suit la vie humaine depuis la nuit des temps. Ainsi, au moyen age ,il était possible de voir des villages ou encore des régions dévastés par ce genre de calamités qui furent jusqu'au début du 19ème siècle considérés comme des châtiments de Dieu. Le terme pandémie souvent utilisé par les médias ou autres n'est pas toujours en accord avec la situation car il existe en faite 3 types de contamination:
- l'épidémie
- l'endémie
- la pandémie.
Pour commencer , l'épidémie est l'apparation fréquente d'une maladie dans une région géographiquement limitée pendant une période donnée (limitéé dans le temps). Tandis qu'une endémie est une maladie qui touche tout un canton ou un pays, mais qui est due à une cause locale. Alors qu'une pandémie est une épidémie qui s'étend de la quasi-totalité d'une population d'un continent ou de plusieurs continents, voire dans certains cas de la planète.
Pour en revenir à l'acte social, il est important de penser au fait qu'il peut être question de la survie de l'humanité, même si cela peut sembler excessif. Des cas comme la grippe espagnole (avec 30millions de morts) peu après la Première Guerre mondiale pourrait très bien se répéter d'où l'importance de cette vaccination. On peut ainsi expliquer les campagnes de propagandes de l'Etat français avec des moyens de diffusion comme la presse ou la télévision, qui essayaient indirectement de nous protéger même si le message n'est pas très bien passer au près de la population.
Le mot épidémie qui vient du grec «Demos» ( ignifiant «peuple» ) est un phénomène qui suit la vie humaine depuis la nuit des temps. Ainsi, au moyen age ,il était possible de voir des villages ou encore des régions dévastés par ce genre de calamités qui furent jusqu'au début du 19ème siècle considérés comme des châtiments de Dieu. Le terme pandémie souvent utilisé par les médias ou autres n'est pas toujours en accord avec la situation car il existe en faite 3 types de contamination:
- l'épidémie
- l'endémie
- la pandémie.
Pour commencer , l'épidémie est l'apparation fréquente d'une maladie dans une région géographiquement limitée pendant une période donnée (limitéé dans le temps). Tandis qu'une endémie est une maladie qui touche tout un canton ou un pays, mais qui est due à une cause locale. Alors qu'une pandémie est une épidémie qui s'étend de la quasi-totalité d'une population d'un continent ou de plusieurs continents, voire dans certains cas de la planète.
Pour en revenir à l'acte social, il est important de penser au fait qu'il peut être question de la survie de l'humanité, même si cela peut sembler excessif. Des cas comme la grippe espagnole (avec 30millions de morts) peu après la Première Guerre mondiale pourrait très bien se répéter d'où l'importance de cette vaccination. On peut ainsi expliquer les campagnes de propagandes de l'Etat français avec des moyens de diffusion comme la presse ou la télévision, qui essayaient indirectement de nous protéger même si le message n'est pas très bien passer au près de la population.
Qu'est-ce qu'un acte individuel ?
Comme nous avons vu antérieurement, la vaccination contre la grippe porcine a fait naître un mouvenement social, dans lequel la population accepter de se fait vacciner pour protéger leurs proches. Cependant, cette vaccination a permis également de développer un acte individuel chez les français.
Cela s'expliquer par le fait que s'inoculer le virus grippal n'est pas systématiquement le fruit d'un envie de proctection de son entourage, certaines personnes peuvent être considéré d'égoïste en refusant tout simplement le vaccin, pensant qu'ils n'ont pas besoin de ceci ou. Il y a aussi les individus qui s'immunisent pour leur propore personne principalement. Ce type de personne a été la grande majorité des vaccinés durant la péroide de vaccination contre la grippe A. Ce qui est compréhensible car ce sont surtout les personnes sensibles à de lourdes conséquences en cas de contamination du virus, qui ont agit pour cette raison.
D'autre part, il est tout à fait normal que l'instinct de survie face à un problème de santé important soit très présent car il s'agit d'une des valeurs innés de l'être humain.
Nous pouvons en concluons alors que le fait se vacciner pour son bien-être est tout à fait acceptable dans la société puisqu'il ne remet pas en question le terme de collectivité.
Cela s'expliquer par le fait que s'inoculer le virus grippal n'est pas systématiquement le fruit d'un envie de proctection de son entourage, certaines personnes peuvent être considéré d'égoïste en refusant tout simplement le vaccin, pensant qu'ils n'ont pas besoin de ceci ou. Il y a aussi les individus qui s'immunisent pour leur propore personne principalement. Ce type de personne a été la grande majorité des vaccinés durant la péroide de vaccination contre la grippe A. Ce qui est compréhensible car ce sont surtout les personnes sensibles à de lourdes conséquences en cas de contamination du virus, qui ont agit pour cette raison.
D'autre part, il est tout à fait normal que l'instinct de survie face à un problème de santé important soit très présent car il s'agit d'une des valeurs innés de l'être humain.
Nous pouvons en concluons alors que le fait se vacciner pour son bien-être est tout à fait acceptable dans la société puisqu'il ne remet pas en question le terme de collectivité.
Une tendance défavorable à la vaccination de la Grippe A !
Nous avons créé un sondage, dans le but de pouvoir représenter l'opinion publique français, avec des panels d'âges variés, pour toucher l'ensemble de la population. Nous avons proposé notre sondage dans notre lycée et également à La Défense, nous récolté 156 questionnaires.
Âge | 16-18ans | 18-30ans | 30-50ans | 50-60ans | 60ans et plus |
Nombre de participants | 48 | 26 | 15 | 31 | 36 |
Nombre de vacciner | 1 | 2 | 1 | 3 | 8 |
Nous pouvons constater d'après nos réponses obtenues que la majorité des personnes qui se sont fait vacciner sont les plus personnes âgées. Nous avons ici seulement environ 2% de 16-18ans qui se sont fait vacciner contre la grippe H1N1 alors que chez les 60 ans et plus, nous avons environ 22%.
Cela confirme bien le fait que la peur qui s'est installée par les médias et l'État a touché la conscience des individus, les plus fragile. Cependant, cette frayeur et cette médiatisation (un problème de santé qui n'a jamais fait autant parlé de lui dans les médias) est irrationnelle puisque qu'il y a eu 18156 morts de la grippe A, dans le monde lorsque la grippe saisonnière cause 10000 à 20000 morts par an et uniquement en France.
Cette disproportion, a été ressenti dans les résultats de notre sondage, où la population voit cette grippe, comme un virus principalement d'importance moyenne voire sans importance, cela peut surement expliquer le pourcentage d'individus vaccinés, en France. Cela a inspiré certaines personnes en créant des imitations de campagnes publicitaires burlesques.
Un exemple de publicité parodiée
Le boycott du vaccin de la Grippe H1N1.
Durant l'épidémie de 2009, de la grippe H1N1, nous avons pu observer une forte réticence des français face à la vaccination et malgré les nombreuses campagne de vaccination.
Selon différents sondages, comme celui de l'institut LH2, les raisons pour lesquelles les français ont boycotté les vaccins, d'une part la crainte des effets secondaires dû à une homologation et création du vaccins beaucoup trop rapide ainsi qu'au cruel manque d'information sur les effets du vaccin.
De plus, avec un taux faible de vacciner chez les professionnels médicaux a ajouté un argument supplémentaire envers ce vaccin.
Enfin, selon un sondage effectué le 31/11/09, il met en évidence les personnes s'étant fait généralement vacciner contre la maladie: se sont personnes âgées, des retraités à faible revenu et les citadins. Les individus ayant étaient les moins nombreux à aller se faire vacciner sont les jeunes, éduqués, cadres, ruraux et ceux à revenu élevé.
De plus, avec un taux faible de vacciner chez les professionnels médicaux a ajouté un argument supplémentaire envers ce vaccin.
Enfin, selon un sondage effectué le 31/11/09, il met en évidence les personnes s'étant fait généralement vacciner contre la maladie: se sont personnes âgées, des retraités à faible revenu et les citadins. Les individus ayant étaient les moins nombreux à aller se faire vacciner sont les jeunes, éduqués, cadres, ruraux et ceux à revenu élevé.
L'État français: la peur d'une épidemie grippale ?
Nous avons pu constater précédemment que l'État avait fait de nombreuses campagnes publicitaires pour essayer d'installer une opinion possible du vaccin contre la grippe H1N1, dans le but d'augmenter le pourcentage de français vaccinés contre ce virus.
En 2009, lorsque l'on annonce l'émergence d'un nouveau virus grippal, un virus qui est vu comme un plus dangereux que son prédécesseur, la grippe aviaire. Cette grippe qui avait créé la peur, dans le monde après une propagation importante dans de nombreuses régions du monde et causant des milliers de morts. Le gouvernement décida, en temps de crise économique d'acheter des millions de doses de vaccins afin d'anticiper un cas d'épidémie majeur. L'État craignait un taux de contamination fort chez les français, ce qui aurait entrainer un ralentissement de la production économique française, et donc causé une diminution de la croissance nationale, dû à une ascension des arrêts maladies. Le pays étant déjà en crise économique profonde, les entreprises aurait alors été obligé de licencier des salariés et la France aurait encore vu monter son taux de chômage.
C'est pour cela que l'État français ayant voulu diminuer l'impact économique de l'épidémie grippale s'est proccuré ces vaccins et mis en place un tel coup médiatique autour du sujet.
En 2009, lorsque l'on annonce l'émergence d'un nouveau virus grippal, un virus qui est vu comme un plus dangereux que son prédécesseur, la grippe aviaire. Cette grippe qui avait créé la peur, dans le monde après une propagation importante dans de nombreuses régions du monde et causant des milliers de morts. Le gouvernement décida, en temps de crise économique d'acheter des millions de doses de vaccins afin d'anticiper un cas d'épidémie majeur. L'État craignait un taux de contamination fort chez les français, ce qui aurait entrainer un ralentissement de la production économique française, et donc causé une diminution de la croissance nationale, dû à une ascension des arrêts maladies. Le pays étant déjà en crise économique profonde, les entreprises aurait alors été obligé de licencier des salariés et la France aurait encore vu monter son taux de chômage.
C'est pour cela que l'État français ayant voulu diminuer l'impact économique de l'épidémie grippale s'est proccuré ces vaccins et mis en place un tel coup médiatique autour du sujet.
Des vaccins à vendre !
Alors que le virus de la grippe A faisait la une des médias, comme étant un nouveau virus dangereux et mortel pour l'homme, l''Etat français, par le biais Roselyne Bachelot alors ministre de la Santé, commanda 94 millions de doses de vaccins(50 millions à la société GLAXO, 28 millions à SANOFI et 16 millions à NOVARDIS) contre le virus H1N1. La facture s'éleva à 350 millions d'euros. Or seul, 5.74 millions de personnes sont allées se faire vacciner dans les structures créées pour l'occasion dans des gymnases principalement. L'Etat français avait réquisitionnéde nombreux médecins généralistes et du personnel hospitalier, durant de plusieurs semaines, pour assumer la vaccination de toute la population française. Par conséquent, le gouvernement s'est vu obligé d'annuler la commande des millions de vaccins, mais l'Etat a au final acheté 50 millions de vaccins pour la somme de 48 millions d'euros. Suite à cet investissement raté, le gouvernement cherchera à revendre des vaccins à d'autres pays. En effet, une grande majorité d'individu pensant que ce vaccin inutile et dangereux à cause de la rapidité de sa fabrication, refusait la vaccination. L'Etat français a alors mis en place de nombreuses campagnes publicitaires télévisuelles, qui furent qualifiées de propagande par les "anti-vaccin".
Voici un exemple publicitaire TV, qui met en avant l'importance du vaccin pour mobiliser la population dans les centres de vaccinations.
Un vaccin coûteux mais pas pour tous !
Les doses de vaccin contre la grippe H1N1 ont été mis à disposition de la population française par l'État, dans un premier temps c'était les personnes qualifiées de fragiles (femmes enceintes, enfants, personnes âgées, malades génétiques...) qui étaient invitées à faire la queue dans les centres d'appoints de vaccination puis plus tard le reste des français. Ce service et ce produit n'ont eu aucun impact sur le pouvoir d'achat de la population puisque le gouvernement avait décidé d'acheter en grande masse des vaccins à de multiples multinationales pharmaceutiques, ainsi la prise en charge totale des coûts que ceci à occasionné. Nous pouvons parler alors qu'il s'agit qu'un service et d'un bien que nous pouvons qualifier de «passager clandestin».Autrement dit, il s'agit d'un agent économique qui bénéficie d'un service, d'un bien ou d'une ressource sans en supporter le coût réel. Par conséquent, c'est l'État qui subventionnera ces agents ce qui peut amener, dans le cas d'un grand nombre de biens publics, au maintient des impôts ou de l'augmentation de ceux-ci à cause d'une sous-production d'un bien public,de la surconsommation d'un bien commun ou de la surexploitation d'une ressource naturelle.
Pour cette fois-ci la France a acheté environ 50 millions de vaccins contre la grippe A. Une dose a coûté à l'État approximativement 1€, cependant la consultation du médecin ainsi que le vaccin lui-même est complètement gratuit à la population française, tous les individus n'auront pas besoin de débourserer le moindre centimes dans les centres de vaccination. Cet achat est donc un investissement lourd pour le gouvernement français et sans aucun bénéfice possible en retour.
Conclusion
Pour conlcure, après avoir expliquer le virus du H1N1, son vaccin mais également les difficultés liés à cette grippe A, nous sommes amené à en déduire que la vaccination n'est pas obligatoirement un acte soit individuel c'est à dire se vacciner pour son propre intérêt personnel, elle peut être le résulat d'un acte social, autrement dit de se faire vacciner contre le virus grippale dans le but de protéger son entourage avant tout.
Ainsi, à la lumière de cette analyse, la vaccination contre la grippe H1N1 déroule d'un acte individuel qui au final achemie vers un acte social, que ce soit volontaire ou non, puisque le fait de se protéger soi-même permet en même temps de protéger sa société, ses groupes de pairs, sa communauté, son milieu social.
Nous pouvons alors se demander quand est-il à l'échelle européen et mondial.
Ainsi, à la lumière de cette analyse, la vaccination contre la grippe H1N1 déroule d'un acte individuel qui au final achemie vers un acte social, que ce soit volontaire ou non, puisque le fait de se protéger soi-même permet en même temps de protéger sa société, ses groupes de pairs, sa communauté, son milieu social.
Nous pouvons alors se demander quand est-il à l'échelle européen et mondial.
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