En 1925, une nouvelle définition vit le jour suite à de nouvelles découvertes sur le foncitonnellement viral: elle était désormais "un agent responsable d'une maladie infectieuse, parasite, de nature particulière et de taille comprise entre 0.01 et 0.3 microns". Le botaniste russe Dimitri Ivanovski, travailla de 1887 à 1892, sur la mosaïque du tabac, une maladie végétale. Il réussira à démontrer que la sève des plantes malades se composées d'une partie d'agent infectieux. Le chercheur croyait qu'il s'agissait d'une très petite bactérie ou d'une toxine. Ces études seront par la suite reprit et approfondit, en 1898, par Martinus Beijerinol, un chimiste hollandais. Cet hollandais abandonna l'hypothèse du russe, donc il pensa guère à la bactérie et à la toxine. Durant cette même période le premier virus identifié était le virus de la fièvre aphteuse, par Frédirick Loffler ainsi que Paul Frosh. Puis le virus de la fièvre jaune sera quant à lui le premier virus pathogène de l'homme discerné, entre 1900 et 1902.
L'invention dans les années 1930 du microscope électronique permettra l'observation des virus et en 1957, une nouvelle définition du virus sera proposée par le français, André Lwoff.
Dès les années 1960, avec le développement des pays riches et leurs avancées technologique mais également de la science (amélioration de cultures cellulaires, de la microscopie électronique, biologie moléculaire que les scientifiques ont pu progressé dans leurs recherches et analyses pour évoluer leurs connaissances sur la division cellulaire des virus, dans la création de diagnostics de plus en plus stable et complexes ainsi de celle des vaccins.
L'invention dans les années 1930 du microscope électronique permettra l'observation des virus et en 1957, une nouvelle définition du virus sera proposée par le français, André Lwoff.
Dès les années 1960, avec le développement des pays riches et leurs avancées technologique mais également de la science (amélioration de cultures cellulaires, de la microscopie électronique, biologie moléculaire que les scientifiques ont pu progressé dans leurs recherches et analyses pour évoluer leurs connaissances sur la division cellulaire des virus, dans la création de diagnostics de plus en plus stable et complexes ainsi de celle des vaccins.